Chapelle, lieu de recueillement pour les Templiers

Invité

Le duc d'Albon, qui avait fait un long chemin, pénétra dans la chapelle et après s'être signé au bénitier s'agenouilla face à l'autel.

Il resta là de longues minutes à communier en silence avec le Seigneur puis on entendit résonner dans la chapelle une prière:

Béni soit le Seigneur, le Dieu d’Israël, qui visite et rachète son peuple. Il a fait surgir la force qui nous sauve dans la maison de David, son serviteur, comme il l’avait dit par la bouche des saints, par ses prophètes, depuis les temps anciens : salut qui nous arrache à l’ennemi, à la main de tous nos oppresseurs, amour qu’il montre envers nos pères, mémoire de son alliance sainte, serment juré à notre père Abraham de nous rendre sans crainte, afin que délivrés de la main des ennemis, nous le servions, dans la justice et la sainteté, en sa présence, tout au long de nos jours.

Et toi, petit enfant tu seras appelé prophète du Très-Haut : tu marcheras devant, à la face du Seigneur, et tu prépareras ses chemins pour donner à son peuple de connaître le salut par la rémission de ses péchés, grâce à la tendresse, à l’amour de notre Dieu, quand nous visite l’astre d’en haut, pour illuminer ceux qui habitent les ténèbres et l’ombre de la mort, pour conduire nos pas au chemin de la paix.

Gloire au Père, et au Fils, et au Saint-Esprit au Dieu qui est, qui était et qui vient, pour les siècles des siècles. Amen.

Après un ultime moment de receuillement et un signe de croix, le duc se releva et sortit

Invité

(irl) stooooooooooooop,
votre priere, meme si elle est tres belle, n'est pas en accord avec la realité des royaumes renaissant..
c'est une magnifique priere issu de la religion judeo chretienne, mais elle n arien a voir avec la religion aristotélicienne...(irl)

Invité

[hrp] j'aurais peut être du remplacer certains mots par Aristote mais cela aurait été, je pense, un plus grand blasphème que de faire une petite entorse au rp. De plus si l'Eglise Aristotélicienne veut se demarquer de la judéo chrétienté, pourquoi reprendre son organigramme (curés, évêque, cardinaux, papes), ses institutions (congrégration, curie,...) et certains de ses ordres? Mais bon je suis pas venus içi pour créer une polémique mais pour me receuillir[/hrp]

Invité

Un modo efface le hrp s'il vous plait !!!

HRP : pas de polémique ici ujio, cet homme est venu se recueillir, techniquement, il a le droit de dire ça mais c'est une hérésie, nous pouvons, je le pense faire une entorse ici.

Invité

HRp non c'est un rp ici, si il veut faire une vraie priere, je suis désolé il fait ça sur son blog mais pas là /HRP

Invité

(irl) tout a fait d accord avec darkam...on reste rp(irl)

En ce dimanche , jour béni du Seigneur , Haeven entra dans la chapelle . Elle aimait la pénombre qui régnait en ce lieu , la clarté donnée par les rayons du soleil ,que les vitraux laissaient entrer avec douceur , celà lui donnait l'impression d' une intimité toute particulière qu'elle pouvait partager avec Dieu . Elle pouvait se confier à lui et elle ressentait sa douce présence.

Elle s'avança jusqu'à l'autel et mit devant la sainte croix un bouquet de fleurs des champs qu'elle venait de cueillir .
Puis elle s'agenouilla devant la croix et se mit à prier avec ferveur . Intercédant tout d'abord pour ses amis , pour ses frères et soeurs puis pour sa vie qu'Il comblait . Elle finit par le remercier pour toutes ses bontés et lui rendit la louange qui lui était due en lui chantant un cantique.

Prends en ta main la mienne ,
Et guide-moi !
Que ton bras me soutienne,
Je suis à toi !
Sans toi je ne puis faire
Même un seul pas.
Prends-moi donc, ô bon Père,
Entre tes bras.

Enrichis de ta grâce
Mon pauvre cœur;
Pour moi son prix surpasse
Joie et douleur.
A tes pieds se repose
Ton faible enfant,
Je ne sais qu'une chose:
Vivre en croyante.

Lorsqu'en sa bienveillance
Mon Dieu m'instruit,
Vers le but je m'avance,
Même en la nuit.
Prends en ta main la mienne
Et me conduis;
Que ton bras me soutienne,
Car je te suis .

Puis elle se leva et sortit de la chapelle le coeur en paix.

Invité

Vétue de son armure bleutée et de son diadème argentée, Syriella l'ange lancière du temple entra dans la chapelle, fis une prière silencieuse et balaya un tant soi peu la chapelle selon le Codex établi par Bloody

Haeven entra dans la chapelle en ce dimanche , jour béni jour du Seigneur .
La lumière du soleil entrait par les vitraux multicolores , donnant au lieu Saint une beauté particulière.
Elle aimait particulièrement venir en cet endroit , la paix qui y régnait et la présence de Dieu était presque palpable .
Avançant dans la nef , elle se dirigea devant la Sainte Croix et s'agenouilla devant , elle se recueillit d'abord un long moment , puis se mit à prier . Après un long moment de prières , elle récita le premier psaume.

Heureux qui fuit l'exemple des pécheurs,
Et se refuse à suivre les moqueurs.
Heureux celui qui jamais ne se lasse
D'adorer Dieu et de chercher sa face.
Heureux celui qui prend plaisir en lui,
Et de sa loi s'inspire jour et nuit.

Il est pareil à l'arbre toujours beau,
Qui reste vert au bord d'un frais ruisseau.
En saison, il porte un fruit superbe,
Tandis qu'ailleurs jaunit et périt l'herbe.
Ainsi celui qui sert le Dieu vivant
sera béni dans ce qu'il entreprend.

Mais le pécheur fait son travail en vain;
Comme un fétu le vent l'emporte au loin.
Si contre Dieu cet homme se révolte,
C'est le néant qu'il gagne pour récolte.
Son œuvre peut nous abuser un temps,
Mais rien n'en reste au jour du jugement.

Invité

Jas alla dans la chapelle, le coeur en peine son tuteur s'en était aller...

La jeune femme se signa et alla chercher un cierge pour son Frère.
Elle n'arrivait pas à réaliser, c'était arriver si vite

Elle s'agenouilla et commença à prier.

Mon Dieu,

Un de mes Frère est vennu vous rejoindre,
C'était un homme bon qui nous manquera à tous...
Son esprit s'en est aller mais je sais qu'il ne nous quittera jamais vraiment...
Puisse-t'il reposer à jamais dans le royaumes des cieux...

Puis s'adressant à son Frère comme si il était juste à côté,

Mon Frère,

Même si tu n'es plus, prends grand soin de toi...
Tu resteras dans nos coeurs,
Nous nous reverons un jour mais en attendant ce moment,
Je t'envoie toute mon amitiée et ma fraternité...

Adieu. Sad

Puis elle continua à prier en silence...

Haeven arriva devant la chapelle et y entra .Elle s'avança dans la nef et alla ainsi jusqu'a l'autel.
Arrivée devant celui-ci, elle s'agenouilla devant la Sainte Croix et se mit à prier avec ferveur.

Sois attentif à ma prière.
Sans me lasser, je crie à toi,
Pour t'implorer, mon Dieu, mon roi,
Et pour offrir à ta lumière
Ma vie entière.

Qui fait le mal ne peut te plaire,
Ni subsister sous ton regard.
S'il ne s'amende sans retard,
Il doit subir la loi sévère
De ta colère.

C'est ta bonté qui me convie
A pénétrer dans ta maison.
Je viens chercher la guérison;
Et ton amour qui justifié
Me rend la vie.

Ta main me garde et me bénisse,
Et que mon coeur te soit soumis!
Préserve-moi des ennemis,
Délivre-moi de leur malice,
Dieu de justice!

Joie et bonheur pour ceux qui t'aiment;
Tu les assistes chaque jour
De ta grâce et de ton amour.
Ils auront part au bien suprême
Que ta main sème.

Invité

Aktaris entra en la Sainte Chapelle, l'âme en peine.

Il arriva à proximité de l'autel, et alluma un cierge.

Puis il s'agenouilla, sans mot dire, dans une silence des plus absolus.
Son coeur, son esprit étaient vides...
Seule la douleur d'avoir perdu ce frère qui l'avait acceuilli, et qui avait tant fait pour la Foy.

Alors il pria....seul, mais il pria.

Invité

Jas entra dans la Chapelle après s'être signée... Cet endroit était vide et il semblait être le reflet des coeurs de ses Frères et Soeurs...
Non pas qu'ils ait perdue la foy, au contraire, c'est la vonlontée qui manquait à la plus part des Templiers...

Elle souhaitais prier pour que tout s'estompe car rien ne part au oubliette, les souvenirs de ces tristes jours restera gravé à jamais dans leurs mémoires...

Entre les affaires au chapitres, le Grand-Maitre qui est rentré dans un triste états et certains valeureux Frères qui parlaient de partir...

Elle s'installa sur un banc et ferma les yeux...

Quand cela finnira t'il,
Pourquoi certains ne se battent plus?
Et pourquoi certains au contraire se battent trop mais à défaut?
Réveillons nous, ouvrons les yeux...
La bétise de certains ne va tout de même pas nous détruire?
Soyons plus rusé et malin qu'eux,
Nous sommes tous Frères même si certains l'oublient parfois,
Nous y arriverons car l'unions fait la force,
Donnez nous le courage et la résistance,
Nous sommes une grande famille,
Nous sommes les servants et pourtant...
Les doutes nous assaillent,
Protègez nous contre les opportuniste et les orgueilleux,
La jalousie ne doit point nous faire défaut car à quoi sert-elle?
Tous ses péchês, ces mots qui nous affaiblisse,
Ne devraient pas être...
Je vous lance un appel, un cris dans ta résidance, à vous tous dans les cieux plus près de Notre Seigneur...
Protègez mes Frères et Soeurs qui ne méritent pas toutes ces tenssions,
Aidez certains à retrouver raison...

Elle vennait d'adresser une prière à tous ceux qui furent au Temple, tous ceux qui gardaient un oeil sur l'Ordre...

Elle resta dans la chapelle en continuant ainsi sa prière à voix basse...

Invité

Motarde entra dans la chapelle totalement desorienté. Depuis que le " fantome " de Benoit etait venu la hanté la nuit precedante, elle errait san sans but, perdu, abandonné. Elle s'avanca vers la croix comme un automate, repetant des geste si souvent effectué, elle s'agenouilla:

Seigneur prends pitier de moi
Délivre moi de lui, delivre moi de cette souffrance
Je t'en conjure, Seigneur, je ne veux plus
Protege moi.

Eternel, écoute ma prière, prête l'oreille à mes supplications!
Exauce-moi dans ta fidélité, dans ta justice!
N'entre pas en jugement avec ton serviteur!
Car aucun vivant n'est juste devant toi.
L'ennemi poursuit mon âme,
Il foule à terre ma vie;
Il me fait habiter dans les ténèbres,
Comme ceux qui sont morts depuis longtemps.
Mon esprit est abattu au dedans de moi,
Mon cœur est troublé dans mon sein.
Je me souviens des jours d'autrefois,
Je médite sur toutes tes œuvres,
Je réfléchis sur l'ouvrage de tes mains.
J'étends mes mains vers toi;
Mon âme soupire après toi, comme une terre desséchée.
Pause.
Hâte-toi de m'exaucer, ô Eternel!
Mon esprit se consume.
Ne me cache pas ta face!
Je serais semblable à ceux qui descendent dans la fosse.
Fais-moi dès le matin entendre ta bonté!
Car je me confie en toi.
Fais-moi connaître le chemin où je dois marcher!
Car j'élève à toi mon âme.
Délivre-moi de mes ennemis, ô Eternel!
Auprès de toi je cherche un refuge.
Enseigne-moi à faire ta volonté!
Car tu es mon Dieu.
Que ton bon esprit me conduise sur la voie droite!
A cause de ton nom, Eternel, rends-moi la vie!
Dans ta justice, retire mon âme de la détresse!
Dans ta bonté, anéantis mes ennemis,
Et fais périr tous les oppresseurs de mon âme!
Car je suis ton serviteur.

Le soleil apportait ses premiers rayons de soleil en ce dimanche d'automne et un douce luminosité traversait la chapelle à travers les vitraux multicolores .

Haeven entra dans ce lieu saint et se dirigea vers l'autel , elle venait rendre gloire à Dieu en ce jour béni du Seigneur .

Elle traversa la nef , s' agenouilla devant la Sainte Croix et se mit à prier.

Toi qui dispose
De toutes choses
Et me les donnes chaque jour.
Reçois, ô Père,
Ma prière et ma louange
De reconnaissance et d'amour.

Le don suprême
Que Ta main sème,
C'est le pardon, c'est ma paix,
Et Ta clémence
Trésor immense
Est le plus grand de tes bienfaits.

Que par Ta grâce,
L'instant qui passe
Serve à me rapprocher de Toi !
Et qu'à chaque heure
Vers Ta demeure,
Mon cœur s'élève par la foi !

Invité

Arioviste le coeur lourd entre dans la chapelle.
Après avoir remis en ordre sa forge et rallumer les élcairs du paradis, il avait pris son bain à l'argile blanche.
Il s'assoit, se met à genoux et comence à prier afin d'expier ses pêchers.
MEA CULPA, MEA CULPA, MEA MAXIMA CULPA

SEIGNEUR TOUT-PUISSANT, NOTRE DIEU, TOI QUI DÉSIRES QUE TOUS LES HOMMES SOIENT SAUVÉS. TOI QUI, PAR LA BOUCHE DE TON PROPHÈTE ISAÏE, AS DIT : LAVEZ-VOUS ET VOUS SEREZ PURIFIÉS; REJETEZ TOUTE MALICE DE VOS COEURS; ADONNEZ-VOUS À DES OEUVRES QUI PLAISENT À MES YEUX ET VOUS SEREZ PLUS BLANCS QUE NEIGE, VOUS TOUS QUI AVEZ PÉCHÉ.

MEA CULPA, MEA CULPA, MEA MAXIMA CULPA

TOI-MÊME, MAÎTRE, RÉALISE AUSSI SUR MOI LE PÉCHEUR, TON INDIGNE SERVITEUR QUI SE REPENT, CETTE PROMESSE QUE TU AS ANNONCÉE PAR TON PROPHÈTE À TES FILS D'ISRAEL.

MEA CULPA, MEA CULPA, MEA MAXIMA CULPA

Ô MON DIEU, QUI LIS DANS LES COEURS, JE VIENS A TOI AVEC UN ESPRIT DE REPENTIR. JE REGRETTE TOUTES MES FAUTES ET A L'AVENIR JE RENONCE A TOUT AUTRE PÉCHÉ, À TOUT ACTE HONTEUX.

MEA CULPA, MEA CULPA, MEA MAXIMA CULPA

FORT DE TON SECOURS, JE VEILLERAI À NE PLUS M'AJOUTER D'AUTRES TRANSGRESSIONS. AU CONTRAIRE, JE NE CESSERAI DE TE LOUER A TOUTE HEURE AVEC UN COEUR PUR.

MEA CULPA, MEA CULPA, MEA MAXIMA CULPA

AINSI JE PASSERAI LE RESTE DE MES JOURS DANS L'OBÉISSANCE DE TES SAINTS COMMANDEMENTS ET EN TA MISÉRICORDE JE RECEVRAI LA VIE ÉTERNELLE ET BIENHEUREUSE.

MEA CULPA, MEA CULPA, MEA MAXIMA CULPA

CAR TU ES BÉNI DANS L'INFINITÉ DES SIÈCLES. AMEN.

Invité

Après une journée haute en émotion, Myriam n'arrivait pas à dormir. Arpentant les couloirs du temple tout en laissant glisser ses doigts légèrement écartés les uns des autres, comme une traînée sur les murs, elle se remémorait de doux souvenirs à l'intérieur de ces murs.

Son esprit s'envola, se commémorant devant chacune des pièces, un souvenir. Elle avait l'impression d'entrendre les anciens qui riait en discutant de la charte, et par moments des voix qui s'élevaient, mais à nouveau le calme et les rires suivaient.

Elle se souvînt ensuite lorsqu'elle s'entraînait avec ses frères puis que Frère Nell lui avait donné des leçons de maniement d'épée. Il lui avait enseigné une bonne partie des techniques qu'elle connaissait.

Plus elle déambulait les couloirs et plus les souvenirs remontaient. C'est à ce moment que Myriam s'arrêta devant la chapelle.

Elle mit la main sur la porte, ferma les yeux et y demeura un moment silencieux se rappelant la création de cet endroit. Ses yeux devinrent brillant de par les larmes qui montaient dans son regard. C'est avec la vue brouillée qu'elle entrouvrit la porte et si hissa à l'intérieur en prenant soin de bien refermer la porte derrière elle, pour ne pas éveiller personne.

Elle avança gracieusement dans l'allée, avec humilité et grâce envers Aristote. La tête légèrement courbée vers l'avant, devant l'autel, elle s'agenouilla et se signa.

Ne sachant trop quoi dire, car il lui semblait que toutes les prières qu'elle connaissaient n'arrivaient pas à exprimer ce qu'elle ressentait intérieurement.

Myriam décida donc de parler à Aristote avec des mots qui lui venaient du coeur. Elle inspira profondement, puis ferma les yeux et lentement laissant les mots trépasser ses lèvres tremblante dans une voix entrecoupée de sanglots de bonheur.

Tu as fais ton chemin en moi par ta lumière pénétrante, tes paroles apaisantes, afin qu'en moi grandisse cette foi que j'ai en toi et que par mes gestes et actes je puisse être un exemple.

Un jour ta brebis s'est égarée, mais merci tu a su la ramenée à toi.
Par ton amour à mon égard, j'ai appris à pardonner
De ton écoute à toutes mes complaintes, j'ai acquis la patience et la compréhension envers mon prochain
Grâce à ta manière de me parler, j'ai appris à soigner ma manière de parler à mon prochain

Lorsque je suis née, tu m'a offert un don. Oui, je sais, j'ai été sotte, je n'ai pas toujours pris la bonne route, pourtant ce don m'en donnait l'opportunité.

Aujourd'hui je suis devant toi, pour te remercier d'être resté auprès de moi et d'avoir continuer à avoir confiance en moi en me donnant une deuxième chance d'être si dans ces murs du Temple afin que je continue l'oeuvre pour laquelle je suis née, celle de te servir et de le faire à travers le Temple pour être en position de défendre les opprimés, à apporter la lumière dans les coeurs où règnent les ténèbres.

Je suis ici car tu me donnes la chance, une nouvelle chance de faire le bien comme j'ai toujours voulu le faire. Je suis ici car tu m'as fais voir mes erreurs et qu'à présent je connais mieux.

Merci à toi, Je te rends grâce, Je te resterai des plus fidèles, puisque ta brebis égarée est revenue au troupeau comme un enfant chez ses parents après plusieurs années sans contacts et qu'elle ne veut plus quitter le nid de sa véritable famille.

Myriam resta immobile, les yeux toujours fermés, savourant ce doux silence qui était comme une brise de fraîcheur énergisante, la laissant légèrte et calme, comme si un lourd fardeau venait d'être retiré de son coeur.

Après un long moment dans le silence de la chapelle et la lueur des flammes réflètant leur danse sur les murs, Myriam se releva doucement tout en se signant à nouveau, puis elle sortit de la chapelle, pour aller directement à son lit, assurée de dormir comme un ange.

Invité

RaphaelFacchini arriva pour prier, il regarda la statue de Saint, fit son signe de croix, et commença:

Seigneur, je te remercie de m'avoir accordé la vie, et t'honore comme tout fidèle le doit. Je laisse une pensée pour FrèreNico qui nous a quitté, puisse-t-il avoir trouvé le repos au Paradis, et qu'il ait retrouvé ses amis et les siens. Dans ton infinie sagesse, puis-tu continuer à nous guider vers la lumière divine

Citation :: Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine ;
En la Sainte Église Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints ;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Je dois maintenant retourner me reposer, de longues journées m'attendent. Puisse-tu me guider dans ma formation.

Au nom du Père, du fils et du Saint Esprit, Amen

RaphaelFacchini se releva, et repartit d'où il était arrivé

Invité

RaphaelFacchini vint prier pour FrèreNico. Après avoir récité son crédo, il dit plus fort:

REQUIESCAT IN PACE, AB IMO PECTORE, AD MAJOREM DEI GLORIAM!
Repose en paix, du fond du coeur, Pour la plus grande gloire de Dieu!

Sur ce, il repartit vers ses quartiers

Invité

Myriam entra dans la chapelle, quelque peu boulversée par les évènements, elle marcha jusqu'à l'autel, pour s'y signer et s'agenouiller devant la grande croix devant elle, récitant le Pater Noster suivit par la remémoration de son baptême qui la relit directement au Père tout-Puissant.

In nómine Patris, et Fílii, et Spíritus Sancti.
Amen

Pater noster, qui es in cælis,
sanctificétur nomen tuum.
Advéniat regnum tuum.
Fiat volúntas tua, sicut in cælo, et in terra.
Panem nostrum quotidiánum da nobis hódie,
et dimítte nobis débita nostra sicut et nos dimíttimus debitóribus nostris.
Et ne nos indúcas in tentatiónem,
sed libera nos a malo.
Amen

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine ;
En la Sainte Église Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints ;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Elle fît silence pour un moment, puis relevant les yeux vers la croix, elle laissa monter en elle toutes les émotions jusque là retenues.

Malgré le temps qui séparait son depart et son retour qui lui avait donné tout le temps pour se refaire à neuf, puis aussi pour se pardonner ce qui lui avait déjà été pardonné, Myriam ne pouvait s'empêcher de vivre continuellement avec ce poids d'une erreur de parcours par le passé.

Elle savait qu'elle devait continuer car cette personne de ce temps n'était pas véritablement elle. Elle aurait voulu demander pardon à quelques personnes qui avait directement été visées par ses propos, mais il lui était impossible de le faire de peur de raviver de vieilles rancunes.

Elle avait donc préparer des lettres de demandes de pardon mais sans les envoyer. Cela la consolait légèrement, mais la prière était la seule chose qui la libérait une journée à la fois.

Elle se répètait quelques mots tous les matins pour apprendre à continuer en se relevant après être tombé. Car elle avait entendu dire par des membres de l'église Aristotélicienne qu'après être tombé, suite à des évènements, que de se relever était divin.

Mon Père, toi qui est resté près de moi lorsque je suis tombé
Je te remercie de m'avoir tendue la main afin de m'aider à me relever.

Maintenant je suis debout et je m'engage à rester dans la voie de la lumière.

Myriam s'engagea dans une autre prière qui lui aidait à bien démarrer une journée.

Voici que le soleil se lève.
Je prie devant vous mon Père
Pour qu'au long de cette journée
vous nous préserve du mal.

Gardez nous de ce langage
Qui trahit la haine méchante
Qu'il protège notre regard
De la vanité séduisante.

Que le fond de nos coeurs soit purs
Éloigné de toute discorde
Qu'une frugale nourriture
Mortifie l'orgueil de la chair.

Afin qu'au soir de la journée,
Quand recommencera la nuit
Purifiée par la pénitence,
Nous chantions la gloire de Dieu.

Gloire au Seigneur, notre Père,
Gloire à Aristote,
Et gloire à l'Esprit Conseiller,
En ce jour et dans tous les siècles,

Amen

Lorsque Myriam eût prononcé les derniers mots, elle se leva en allumant un cierge pour chacune des personnes qui avait été des pilliers pour le temple et qui nous avaient quitté. Elle repensa à SGD qui n'avait toujours pas eu d'obsèques et qui avait été un valeureux Frère pour l'Ordre, un exemple de sagesse et de compassion. Elle demanda au Père de bien vouloir le garder près de lui et fit la promesse de préparer quelque chose à son égard.

Myriam alla s'asseoir dans un banc et y resta silencieusement, pour rendre hommage à tous les défunt, ainsi que pour le Frère Nico pour qui Myriam avait énormément de respect.

Invité

Nefenra entra dans la chapelle...
Il se signa et avança dans l'allée centrale.
Arrivé à quelques pas de l'autel,il s'agenouilla et pria.
Sa prière fut-ce-t-elle silencieuse,les pensées de celles-ci allèrent à tous les membres du Temple en cette veille de la Noël.
Qu'ils puissent garder au fond de leur coeur toutes les valeurs nobles du Templier.
Puis, il eut une pensée toute particulière pour son épouse,qui gardait au fond d'elle l'amour inaltérée du Seigneur.
Et pour finir,il eut une pensée pour tous les disparus de cette année.
Certains très chers....
Il se signa de nouveau,puis quitta la Chapelle.

Invité

Motarde entra dans l'eglise c'est le seul endroit ou on lui abait permis de parler et ceux jusqu'au 8 janvier.

Elle alla face à la croix et s'agenouilla.

Regardant cette derniere avec grande ferveur, elle commenca par féliciter ses freres ecuyers nouvellement recu, elle etait la tutrice d'un et la marraine d'un autre. Elle etait tres fiere d'eux et irai le leur dire elle es qu'elle le pourrai.

Ensuite elle pria le seigneur de lui donner la force, non pas de pardonné ou demander pardon, ce n'etait plus pour elle a l'ordre du jour. Comme d'autre choses il y a des seuils au dela desquels tout retour est impossible, mais lui donné la force de rester. Rester dans ce lieu qu'elle avait toujours consideré être sa famille, lieu ou son coeur etait en paix, etait ..................avant............ca semble si loin maintenant, quand les rires se faisaient entendre dansla salle de ecuyers, ou à l'ecurie...........tellement loin de tout ce qu'il se passe maintenant, de ce lieu qu'elle aimait toujours mais ou elle ne se reconnaissait plus.
une semaine de silence imposé lui donnerai peut etre la reponse à sa question, et soit la force de partir ou celle de rester, mais quelques chose devait changer, dans un sens ou dans un autre.

Elle resta ainsi, cherchant une reponse dans cette croix.

Invité

Myriam ressentait le besoin de se rapprocher du Tout-Puissant en cette journée de solitude.

Elle savait et reconnaissait ce pourquoi elle était devenue templière. Myriam était impatiente de s'impliquer comme autrefois et de pouvoir faire quelque chose de concret afin de venir en aide aux opprimés. Certes elle agissait dans son village, mais à l'intérieur du temple il en était plus difficile.

Elle pénétra la chapelle de pas léger et décontracté, et comme toujours l'humilité de venir s'agenouiller devant le Tout-Puissant la plongeait dans un moment de paix intense. Myriam savourait toujours ce moment privilégié entre Dieu et elle. La douceur emplisait son coeur, et elle se sentait à toutes les fois un peu plus libre tel l'aigle survolant les plaines et les montagnes.

Elle avança, un sourire au lèvre, heureuse de profiter de ce moment intime avec celui qui bénissait sa vie tous les matins qu'il faisait pour elle.

Elle repassa en revue, ce qui avait été accomplit, son travail de longue haleine qui l'avait ramener à sa vie templière, et elle le remercia en silence avec grâce tout en marchant avant de plier le genous en se signant.

Mon Père Céleste, vous qui m'avez accordé une seconde chance sans hésiter, je l'ai prise et tous les jours que vous faites, je vous en suis reconnaissante.

Il n'est pas aisé de regagner la confiance d'un être humain, mais je suis patiente, car vous m'avez enseigner l'amour et que pour connaître et donner l'amour, l'on se doit d'être patient.

Vous m'avez enseigner qu'il valait mieux marcher à vos côtés que de me presser devant et me perdre.

Vous m'avez aussi enseigné à laisser derrière les rancunes afin de toujours regarder les gens d'un regard neuf.

Vous m'avez appris à aimer jusqu'à mes ennemis, en pardonnant, que le pardon est la plus belle chose que l'on peut offrir à un autre être humain.

Vous m'avez enseigné à toujours garder mon coeur et mon esprit ouvert aux changements, que personne n'est indispensable, que même si je ne suis pas, d'autres seront à ma place.

De tout cela j'ai retenu que d'être humble, que de vous servir avec grâce, que de partager ce que vous m'enseignez, que d'être moi tout simplement sans vague, avaient beaucoup plus de valeurs que toutes paroles qui pourraient franchir mes lèvres.

Vous m'avez aussi appris que l'arrogance n'avaient pas sa place lorsqu'on voulait être entendu, que le silence est plus souvent d'or que la parole.

Pour ces raisons, je me tais, vous offres mon coeur et mon âme, je veux m'emplir de votre bonté, je veux persister à être votre instrument de paix partout ou je poserai pied.

Myriam fléchissa le cou doucement, ramenant ses mains priantes à son visage, et prit le temp de remercier Dieu pour cette nouvelle prise de conscience qui la rapprochait du Tout-Puissant un peu plus chaque jour.

Invité

RaphaelFacchini arriva, se mit à genoux, fit son signe de croix, et commença à prier:

Te Deum laudamus : te Dominum confitemur.
Te aeternum Patrem omnis terra veneratur
Tibi omnes Angeli, tibi caeli et universae Potestates :
Tibi Cherubim et Seraphim incessabili voce proclamant :

Sanctus, Sanctus, Sanctus Dominus Deus Sabaoth.
Pleni sunt caeli et terra majestatis gloriae tuae.

Te gloriosus Apostolorum chorus,
Te Prophetarum laudabilis numerus,
Te Martyrum candidatus laudat exercitus.
Te per orbem terrarum sancta confitetur Ecclesia.

Patrem immensae majestatis,
Venerandum tuum verum, et unicum Filium,
Sanctum quoque Paraclitum Spiritum,

Tu Rex gloriae, Christe,
Tu Patris sempiternus es Filius,
Tu ad liberandum suscepturus hominem,
non horruisti Virginis uterum.

Tu, devicto mortis aculeo,
aperuisti credentibus regna caelorum,
Tu ad dexteram Dei sedes, in gloria Patris,
Judex crederis esse venturus.

Sanctus, Sanctus, Sanctus Dominus Deus Sabaoth.
Pleni sunt caeli et terra majestatis gloriae tuae.

Te ergo quaesumus, tuis famulis subveni,
quos pretioso sanguine redemisti.
Aeterna fac cum Sanctis tuis in gloria numerari.

Salvum fac populum tuum Domine, et benedic haereditati tuae.
Et rege eos, et extolle illos usque in aeternum.
Per singulos dies, benedicimus te.
Et laudamus nomen tuum in saeculum, et in saeculum saeculi.

Dignare, Domine, die isto sine peccato nos custodire.
Miserere nostri, Domine, miserere nostri,
Fiat misericordia tua, Domine, super nos,
quemadmodum speravimus in te.

In te, Domine, speravi : non confundar in aeternanum

Ô Dieu, nous te louons : ô Seigneur, nous te glorifions.
Père éternel, la terre entière te révère.
Tous les Anges, les cieux et toutes les puissances,
les Chérubins et les Séraphins ne cessent de redire ta louange :

Saint, Saint, Saint est le Seigneur, le Dieu de l'univers.
Les cieux et la terre sont pleins de la majesté de ta gloire.

Le chœur glorieux des Apôtres,
La troupe vénérable des Prophètes,
L'éclatante armée des Martyrs publie tes louanges.
Par toute la terre, la Sainte Église confesse ton nom.

Elle confesse, ô Père, ton infinie majesté,
Et ton véritable et unique Fils,
digne de tous les hommages,
Et l'Esprit-Saint, le Consolateur.

Tu es le Roi de gloire, ô Christ !
Tu es le Fils éternel du Père,
Prenant la nature de l'homme pour la délivrer,
Tu n'as pas craint de descendre dans le sein de la Vierge.

Brisant l'aiguillon de la mort,
Tu as ouvert aux croyants le royaume des cieux.
Tu es assis à la droite de Dieu dans la gloire du Père.
La foi nous montre en Toi le juge à venir.

Saint, Saint, Saint est le Seigneur, le Dieu de l'univers.
Les cieux et la terre sont pleins de la majesté de ta gloire.

Aussi, nous T'en supplions,
secours tes serviteurs,
que Tu as rachetés de ton précieux sang.
Fais qu'ils soient mis au nombre de tes Saints, dans la gloire.

Sauve ton peuple, Seigneur, et bénis ton héritage.
Dirige-les, fais-les grandir jusqu'à l'éternité.
Chaque jour nous te bénissons,
Et nous louons ton nom à jamais et jusque dans les siècles des siècles.

Daigne, Seigneur, en ce jour, nous garder purs de tout péché.
Aie pitié de nous, Seigneur ! aie pitié de nous !
Que ta miséricorde soit sur nous, Seigneur,
selon l'espérance que nous avons mise en Toi.

En Toi, Seigneur, j'ai espéré : que je ne sois point à jamais confondu.

Seigneur, fais de moi un artisan de paix, en Touraine comme au Temple, et fais de moi un protecteur des opprimés, aussi bien dans les RR que dans le S.E.R.G..

Il refit son signe de croix, se releva et parti en entonnant un cantique en latin

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